20 juillet à 11h et 15h
Alceste veut retourner sur les lieux de sa jeunesse d'avant exil et qui plus est, à vélo. Camille, sa petite fille, décide alors d'enfourcher elle aussi sa bicyclette pour l'accompagner jusqu'en Espagne mais, la perte de mémoire semble s'être invitée dans le périple.
Une création poétique qui questionne le thème de la transmission et valorise le lien intergénérationnel.
Soutiens : Théâtre de la Roseraie, Centre Culturel Bruegel
Copyright photo : Michel Pagniez.
La compagnie développe un univers empreint de poésie dans lequel elle explore les univers hybrides. Le travail de création s’établit par l’exploration de la matière vivante des corps, de l’espace, des objets, des mots et de l’onirisme proposé par le masque et la marionnette. La calligraphie de l’espace, la poétique de l’illusion, l’engagement du corps sont ici primordiaux et au service de son théâtre poétique.
L'utilisation de la marionnette est au centre du travail de la compagnie cependant le jeu théâtral, la présence des corps, l'univers sonore, la création lumière, le traitement de l'espace ont la même importance pour la compagnie afin de créer une narration multi-sensorielle.
La compagnie développe 2 axes : un axe en théâtre et un axe en art de rue car la compagnie tient également à défendre un théâtre qui investit les places publiques et poétise les espaces scéniques et non scéniques. Elle propose un art interactif, qui va à la rencontre des habitants en s'invitant dans différents lieux.